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Couch of shame ft. Presley
Alistaire G. Calgrini
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Alistaire G. Calgrini
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Sam 6 Juil - 23:46




 




Aujourd’hui est un grand jour, je rentre plus tôt que Madame à la maison. De quelques minutes, certes mais ma Corvette à un plus gros moteur que sa jolie Fiat 500 alors, roulez jeunesse ! En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve devant la maison, le sourire aux lèvres parce que j’adore faire des drifts dans les cailloux de la cour. Ca, c’est super cool. J’aime entendre ce son, il est tellement agréable. Les chiens savent que je suis là, ils aboient comme pas possible. J’espère juste que mes prières seront exaucées et que Rufus n’aura pas bouffer un meuble. Lily s’est assagie de ce côté là mais Rufus, c’est une autre affaire. Il a tendance à bouffer tout et n’importe quoi en ce moment, dont les cailloux qu’il ramène gentiment dans la baraque. J’adore ce chien mais qu’est-ce qu’il fait comme conneries, bon sang. La clé dans la porte, je l’ouvre tranquillement mais la première chose qui me saute aux yeux, ce n’est pas Lily, ni Benny mais Rufus qui est dans un coin de la pièce, la queue entre les pattes et ses petits yeux plissés. Il a dû faire une connerie, je ne vois pas d’autres solutions pour sa réaction. A voir. Je caresse les deux chiens avant d’oser m’avancer dans le salon. Je regarde autour de moi quand j’entends la porte qui s’ouvre sur ma brune. « Je crois que c’est soirée mousse. » Le chien a bel et bien bouffer le canapé.

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Presley R. Montesano
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Presley R. Montesano
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Lun 8 Juil - 0:21





Un boulot de dingue. Des fois, je me demande si j’ai toute ma tête pour faire un job pareil. Ça court partout, les gens sont mal-aimable et se croient tout permis, j’en passe des meilleurs. Pourtant, c’est ce que j’aime faire. Il faut être cinglé. En attendant, l’hôpital de Skëlton est un très bon endroit pour commencer sa carrière de médecin, il n’y a pas de doutes. Je me fais tranquillement aux locaux et à l’organisation du service. Je ne me sens pas trop perdue, je prends mes marques. Il est dix-heures trente quand je quitte mon poste, de bonne heure donc pour une fois. Je prends le volant pour la maison, hâte de retrouver mon homme. Sur le chemin, j’ai mon esprit qui dérive encore vers Barry. J’arrive à y penser sans avoir les larmes qui montent, c’est déjà un très grand pas. Depuis qu’on a disperser ses cendres, je me sens mieux. C’était un poids que je ne pouvais plus porter et ça ira mieux, jour après jour. Je finis par entrer dans la cour et la Corvette d’Alistaire est déjà là, parfait. Je roule des yeux avec un petit sourire en voyant de grandes traces dans les cailloux de la cour. Un vrai gamin, c’est impossible. Je sors de la voiture, mon sac sur l’épaule, avant d’entrer chez nous. Il fait bon, c’est un plaisir. Je savoure cette sensation bien trop peu puis que mon brun me dit que c’est soirée mousse. Je fronce les sourcils d’incompréhension en fermant la porte de la maison. « Pardon ? » dis-je doucement en m’approchant de lui, mes bottines à talons aiguilles claquant sur le parquet. Mes yeux s’écarquillent quand je comprends enfin. « Oh non, mon dieu. » J’adorais ce canapé, vraiment. Je passe une main sur mon visage, dépitée. Je finis par poser mes yeux sur le coupable, pas très difficile à démasquer. « Mal élevé. » que je sors à Rufus. Il y a de la mousse partout, il faut voir. Je finis par soupirer en me tournant vers Alistaire, je pose mes lèvres sur les siennes. Je suis presque à sa taille avec ces bottines, qui ne sont pas dans ma garde-robe habituelle, je teste des choses en ce moment. « J’enlève mes chaussures et je vais ranger. » dis-je, d’un ton fatigué. Je retourne dans l’entrée avant de caresser Lily et mon Benny, qui viennent me faire la fête. Je passe une main dans mes cheveux mouillés remontés en une queue de cheveux haute, j’ai pris ma douche à l’hôpital avant de partir. Les pieds entourés de collants noirs, je vais commencer à ressembler la mousse en un tas. Il commence à être assez gros et large. Je finis par me laisser aller dedans, allongée sur le dos. Je ferme les yeux en soupirant longuement. « Je n’ai pas le courage de finir, au secours. » Je glousse légèrement. Je me détends un peu, l’énervement passe doucement. Je sais, de toute façon, qu’Alistaire sera me faire passer cette contrariété.
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Alistaire G. Calgrini
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Alistaire G. Calgrini
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Mar 9 Juil - 20:25




 




J’entends le ton de ma brune se tendre quand elle m’interroge sur la soirée mousse. Je me pince les lèvres en voyant Rufus remuer la queue de gauche à droite, l’air penaud. J’entends ses talons qui claquent contre le parquet et je me retiens de rire quand je vois la réaction du chien face à Presley. Maman est pas contente, du tout. « On est bons pour en acheter un autre, je crois. » Je me passe une main sur le visage quand je vois leur échange de regard. « Il est jeune, c’est tout.. » Lily en a fait aussi des conneries. Des vertes et des pas mûres. Benny est le plus sage des trois de toute façon. C’est le plus vieux aussi, et je suis sûr que ça joue beaucoup dedans. Un baiser atterrit sur mes lèvres alors que j’étais dans mes pensées, un sourire s’étire sur ma face quand je regarde ma brune. Je lui rend son baiser avec amour en attrapant ses joues entre mes mains. Je l’observe un instant, elle est plus grande que d’habitude. Je pointe ses talons du doigt. « Comment tu triches ! » Je ricane en venant encore une fois poser mes lèvres sur les siennes. « Tu es magnifique mon amour. » Je caresse sa joue avant de retirer mes chaussures. Je vais les déposer sur le meuble et je me retourne vers elle. « Non mais, je vais t’aider, bébé. »

Alors que je ramasse les bouts qui sont un peu plus loin, je laisse Presley ramasser ceux qui sont dans le salon quand j’entends un « boom », je me retourne vers elle qui s’est laissé aller dedans avec envie. Je ricane en ramenant mes morceaux, je les ajoutent aux siens en venant avec elle dans le tas. « C’est pas grave tu sais. » Je viens caresser sa joue avec le bout de mes lèvres. « On parle de ta journée ou de la mienne ? »

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Presley R. Montesano
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Presley R. Montesano
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Mer 10 Juil - 22:32





Mauvaise surprise en rentrant du boulot. Très mauvaise. Alistaire trouve quand même un excuse à son chien. Je fronce les sourcils mais je ne dis rien. Il pourrait le disputer un peu, au moins. Mince alors. J’hausse les épaules en soupirant, tant pis. Que faire contre Papa gâteau ? C’est un combat perdu d’avance. En attendant, je veux mon bisou et je vais le chercher moi-même alors qu’il a les yeux dans le vague. Un sourire se dessine sur ses lèvres et j’y réponds doucement, croisant son regard. Je savoure la sensation de ses mains encadrant mon visage et ses lèvres qui m’ont bien manquées aujourd’hui. Mon esprit s’apaise sous ce doux contact. Soudain, j’arque un sourcil alors qu’il me dit que je triche avec mes bottes à talons. Il ne devrait pas aller sur ce terrain. Ma taille a toujours été un sujet de discorde. Je roule des yeux avant de pouffer de rire légèrement. J’allais en placer une mais il me réduit au silence en m’embrassant de nouveau. Bien joué, pour cette fois. Ma main glisse sur sa chemise alors que j’approfondis le baiser quelque peu. Il finit par me complimenter et je rougis, baissant le regard. « Disons simplement que je fais des tests vestimentaires. » dis-je en penchant ma tête sur le côté en relevant le regard. Chaussures enlevées tous les deux, il vient m’aider à ramasser les dégâts. « Merci, bébé. » Un fin sourire sur les lèvres, je commence à ramasser les gros morceaux de mousses et les rassembler dans un coin du salon.

Franchement, je suis lasse de cette journée. J’arrête ma tâche presque à la fin et finit par me laisser aller dans le tas bien fourni de mousse. Sur le dos, je soupire d’aise et lance que je finirai plus tard. Petite pause. J’entends mon brun ricaner et venir s’allonger à côté de moi, sur le ventre. Enfin, presque sur à vrai dire. Je m’étire doucement avant de glisser un bras sous mes cheveux mouillés pendant que ses lèvres effleurent agréablement ma joue. Ça paraît peut-être anodin mais j’adore ses caresses, n’importe lesquelles. Ma journée ou la sienne ? Je tourne un peu plus vers lui, glissant mon nez le long de sa mâchoire. « Attends, je vais essayer de deviner la tienne. » dis-je, un sourire joueur sur les lèvres pendant que je prends un peu de distance pour le regarder. Je plisse légèrement les yeux. C’est parti. « Tes étudiants ont été doux comme des agneaux, sauf ce groupe de filles qui parle tout le temps. Ça a le don de t’horripiler. En somme, une bonne journée où tu as été productif. En revanche, cette secrétaire blonde t’a encore draguer et tu te demandes comment je vais le prendre si je viens à le découvrir. » Je me pince les lèvres pour éviter de rire. « Pour anticiper, je vais être obligée de sévir et montrer à cette grande asperge qu’elle ne peut avoir tout ce qu’elle veut. » dis-je avec une voix un peu profonde, presque séductrice alors que j’agrippe doucement sa lèvre inférieure entre mes dents pour la tirer légèrement. Je capture son regard derrière mes longs cils. Après une longue période d’hibernation, ma libido semble enfin faire un coucou discret. Même nos retrouvailles n’ont pas terminés au lit. La mort de Barry m’avait vraiment plongé dans un état catastrophique. L’important est que maintenant, je commençais à remonter la pente. Grâce à lui, pour lui.
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